
IVG = interruption volontaire de grossesse
Il est nécéssaire de la pratiquer avant la douzième semaine pour qu'elle soit légale.
Voici une liste des médicaments qui permette d'avorter (tous sont délivrer sur ordonance ou à l'hopital) :
Cervagème : Il entraine une contraction des fibres utérines et un relachement du col. Cela favorise l'ouverture du col et l'expulsion de débris intra-utérins. Son action peut etre accompagné de douleurs abdominales et de troubles digestifs (nausées, vomissements et diarrhées).
Gymiso : idem, mais il est contre-indiqué en cas de grossesse non confirmée, en cas de grossesse pathologique ou de grossesse de plus de 50 jours d'aménorrhée.
Mifegyne : La molécule de Mifépristone s'oppose à l'action de la progestérone (hormone naturelle) et induit une interruption de grossesse. Les principales manifestations observées sont des métrorragies, des contractions utérines, des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements, des réactions cutanées allergiques, des céphalées, des malaises, des vertiges ou des bouffées de chaleur.
Nalador : La molécule de Sulprostone agit sur l'utérus (contraction, expulsion) et sur son col (dilatation). Les principales manifestations observées sont des contractions utérines, des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements, des céphalées, des vertiges.
Mesdemoiselles, j'espère que cet article ne sera qu'à titre informatif et que jamais vous n'aurez à prendre un de ces médicament. A cette fin, je vous encourage simplement à rester fidèle au préservatif, qui est la plus fiable des contraceptions et qui vous protège de toutes les MST.